Calais Port 2015 représente désormais environ 25 % de l’activité
des carrières du bassin marquisien, a priori pour plusieurs années.
Pour l’extraction des matériaux dans les carrières, la roche est d’abord fragmentée par des tirs d’explosifs, puis ce produit (le « primaire ») est extrait, concassé, calibré, suivant son futur usage. Un métier technique donc, nécessitant d’avoir constamment une rigueur quant à la sécurité des intervenants sur le site et à la quiétude des riverains. « Avec, de plus, le souci permanent du développement durable » explique Vincent Ribard, Directeur de Stinkal.
Nous exploitons une ressource que nous savons épuisable,
ce qui nécessite une vision à long terme pour être efficace
tout en limitant au maximum l’impact sur l’environnement.
Stinkal a mis tout en œuvre pour répondre à une demande pharaonique.
« Pour Calais Port 2015, ce sont 8 personnes qui travaillent à plein temps, à savoir qu’un emploi carrier provoque en moyenne 3 emplois de sous-traitance créés, principalement pour le transport » explique Benjamin Lonquety, Responsable Commercial de Stinkal. 15 transporteurs locaux interviennent ainsi sur le seul budget Calais Port 2015, ce qui représente une vingtaine de chauffeurs qui effectuent des allers-retours quotidiennement. A ce sujet, les infrastructures routières (en particulier la bretelle d’accès réservée aux Poids Lourds) et le buffer mis en service récemment par le port permettent d’absorber le trafic … : 1 demi-heure de trajet en moyenne par aller est observé, démontrant la fluidité des trajets.